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n°04054

Carte d'identité

Electro II

Race :
Autre  
Classe :
High-tech  
Cheveux :
Sans 
Yeux :
Sans 
Situation
Membre des Douze 
Base :
Mobile 

 

Surnoms :
Elektro

Cachet de l'éditeur

Marvel

Electro II est programmé pour protéger l'humanité et plus globalement faire le bien.

Electro II possède une force surhumaine dont les limites sont inconnues.

Il peut courir à plus de 160 km/h, à l'instar d'Hulk, parcourir des kilomètres un seul bond, et capter les ondes radio, ce qui lui permet de communiquer par ce biais, et est pratiquement indestructible, étant non seulement à l'épreuve des balles mais aussi des obus.

Son écran en guise de visage peut projeter des images, le plus souvent celle du professeur Philo Zog, qui le contrôlait à distance grâce à une interface télépathique. Toutefois la rupture de ce lien le rend inactif.

Biographie

Désireux d'aider l'humanité, le riche et génial Professeur Philo Zog conçut un robot très sophistiqué baptisé Electro. Aidé par son valet, Mr Burke, et Wilkins, le secrétaire de celui-ci, il recruta une douzaine d'agents, dont Dick Gardner, le numéro 3 et le meilleur d'entre eux, pour localiser les criminels et les membres de la cinquième colonne (les espions nazis). Tous furent munis d'un petit téléphone sans fil qui leur permettaient de faire appel au robot en cas de besoin, le visage du Professeur Zog apparaissant sur l'écran de la tête de sa création. Après avoir combattu des criminels ordinaires et des agents étrangers, Electro fit face à des adversaires surnaturels comme les envahisseurs de Korpu, une autre planète qu'il aida à libérer, la Terreur Verte et les Onees, une race souterraine qui voulait détruire toute vie à la surface de la Terre.Parallèlement Electro prit part activement à la lutte contre les Puissances de l'Axe sur le terrain durant la Seconde Guerre Mondiale. C'est ainsi qu'il figura avec de nombreux hommes-mystères (nom donné aux super-héros de l'âge d'or, entre les années 30 et 50) qui pénétrèrent dans Berlin le mercredi 25 avril 1945 aux côtés des troupes alliées et les [Envahisseurs] de Captain America.

Avec onze héros costumés qui se trouvaient dans le même secteur, Electro explora le Quartier Général des SS pour dénicher des tireurs ou autres forces d'opposition. Mais peu après leur entrée dans le bâtiment, il demeura immobile, son lien télépathique avec le Professeur Zog ayant été rompu par une épaisse porte métallique et tous furent retenus prisonniers dans une pièce. Ses onze cammarades furent soumis à un gaz soporifique et placés en état d'animation suspendue par des savants nazis qui voulurent étudier leurs éventuels pouvoirs pour les reproduire au profit du IIIème Reich. Seulement leur plan tomba à l'eau avec l'arrivée en avance de l'armée russe qui tua tous les officiers SS et la plupart des scientifiques, les autres finissant dans les goulags. Le mercredi 2 août 2008, les Douze furent découverts lors des travaux de construction d'un immeuble lorsqu'une excavatrice tomba accidentellement dans le sous-sol où ils étaient retenus. En raison de leur patriotisme sans faille, l'état-major décida de les réveiller tout en les préservant pendant un temps du choc des soixante-trois ans passés depuis leur mise en sommeil.

Sans Philo Zog, Electro n'était plus qu'un tas de feraille inerte qui fut entreposé dans une pièce de la maison où étaient logés gratuitement les Douze par le gouvernement. Toutefois son interface télépathique intéressa grandement le Pentagone, raison pour laquelle le colonel Dexter, chargé de la supervision de ces hommes-mystères, refusa de le rendre à l'héritière et à la fille de son créateur, Mme Zogolowski qui révéla à cette occasion que le choc de la séparation avait tué son père dont le cerveau était littéralement mort de solitude. Elle obtint finalement la garde temporaire d'Electro mais n'avait pas les moyens d'engager la bataille juridique pour en acquérir la propriété. Blue Blade lui suggéra alors d'utiliser le robot dans son spectacle en échange de l'argent dont elle avait besoin pour poursuivre le gouvernement américain et récupérer définitivement l'invention de son père.